Essai réflexion / Des correspondances – de la correspondancias

Des correspondances


les correspondances,

passages entre les existants et le monde

ni des intervalles, ni des notes, ni de systèmes numériques, ni construction mathématique, mais des correspondances, les formes sont parole, language, expression,
dessin, peinture, littérature, telle forme, tel geste, épaisseur, transparence, légéreté, rappel, émotion, souvenir, traces, la phrase a une forme,
une structure, une épaisseur, un poids qui est symbole, qui réfère à un contenu vécu, la légèreté de l’air, la douceur de l’eau, la force de la terre et des rochers,
le passage léger des oiseaux ou l’enfant qui rit et joue,
ces phrases, ces ensembles sonores, ces dessins contrapointiques de phrases mouvantes se croisant, sont évocations, traces de la mémoire, communications d’impressions, dire de moments de vie, dire de la sensation de la présence sur la terre, qui est envol ou lourdeur, qui participe d’une impression comme en un matin de printemps, où l’air et les couleurs vibrent de joie et de légèreté, où se sent dans les airs les passages croisés, comme un contrepoint aérien, des passages d’oiseaux, ou des tourbillons subtils de petits insectes juste nés, impressions comme en un matin de printemps, où s’entendent aussi comme se voient ces légers contrepoints, par les chants mêmes
des oiseaux s’entrecroisant en des rythmiques imprévues et toujours vivantes, ou par les bruissements de l’air ou du vent, entrecroisants leurs subtils glissements de voix transparentes, la musique, les phrases musicales sont traces, correspondances à d’autres réalités, comme le geste arrondi et sautant de la vague, comme la chute perlée de la goutte d’eau, il y a un vécu, il y a la mémoire, et il y a la musique, un langage qui dit, qui rappelle, qui évoque la finesse, la grandeur, la force, l’inimaginable et prenante beauté de l’espace coloré entre le ciel et la terre.,


ni intervalos, ni notas, ni sistemas numéricos, ni construcción matemática, pero correspondencias, las formas son palabra, lengua, expresión, dibujo, pintura, literatura, tal forma, tal ligereza,
tal gesto, grosor, transparencia, recordatorio, emoción, acordar, rastros, la frase tiene una forma, una estructura, un grosor, un peso que es símbolo, que refiere a un contenido vivido, la ligereza del aire, la suavidad del agua, la fuerza de la tierra y las rocas, el paso ligero de los pájaros o el niño que se ree y juega, estas frases, estos conjuntos sonoros es despegue o pesadez, que participa de una impresión como en una mañana de primavera,
dónde el aire y los colores vibran de alegría y ligereza, donde se siente en los aires los pasos cruzados, como un contrapunto aéreo, de los pasos de pájaros, o de remolinos sutiles de pequeños insectos exactamente nacidos, impresiones como en una mañana de primavera, donde se entienden también como se ven estos ligeros contrapuntos, por los bordes mismos de los pájaros que se entrecruzan en rítmicos imprevistas y siempre vivas, o por los murmullos del aire o el viento,
entrecruzando sus sutiles deslizamientos con voces transparentes, la música, las frases musicales son rastros, correspondencias a otras realidades, como el gesto redondeado y saltando de la ola, como la caída goteada de la gota de agua, hay el vivido, hay la memoria, hay la música, una lengua que dice, que recuerda, que menciona la finura, el tamaño, la fuerza, la inimaginable y pegajosa belleza del espacio coloreado entre el cielo y la tierra.

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